Les militants du Front de Gauche invitent les habitants à en débattre ensemble. Ne renonçons pas au changement, à nous de nous en mêler.

jeudi 31 octobre 2013

Un bijou pédagogique

Petite animation documentaire de 35 mn, archi-accessible, destinée à
celles et ceux qui n’ont pas encore compris la situation :


Percutant et superbement réalisé, ce film d'animation questionne notre mode d'exploitation des énergies fossiles et des ressources naturelles, ses conséquences au niveau planétaire et l'impasse où nous mène notre modèle de croissance.

UN GOUVERNEMENT QUI BRICOLE ET UNE RÉGION SINISTRÉE

Communiqué du Front de gauche, 30 octobre 2013
Les mobilisations sociales qui se développent en Bretagne sont révélatrices de la crise touchant notre pays et plus particulièrement de la dégradation considérable de la situation économique et sociale dans la région : 6000 emplois salariés en moins rien que pour l’année 2012 et 19 000 dans le secteur marchand depuis 2008. Voilà le résultat de la crise du capitalisme néolibéral, aggravée par les politiques d’austérité voulues par le gouvernement et les institutions européennes, et d’un modèle économique productiviste refusant de prendre en compte les impératifs écologiques.
FdG - Campagne - AAACP - Ecologie
L’agriculture et les industries agroalimentaires bretonnes, notamment la filière porcine et avicole, se sont, en général, développées sur la base de production de masse de produits peu valorisés destinés en partie à l’exportation. Cette production est aujourd’hui fortement concurrencée par les pays émergents ou par des pays de l’Union européenne qui, comme l’Allemagne ou le Danemark, pratiquent un dumping social éhonté en employant massivement des salarié-e-s d’Europe centrale et orientale sous-payé-e-s en utilisant les failles de la directive européenne sur le détachement des travailleur-euse-s.
Dans ce cadre, l’écotaxe votée sous la droite et mise en œuvre par le gouvernement Ayrault est un prétexte que saisissent le Medef, les tenants de l’agro-business et les patrons de la grande distribution pour détourner l’attention des véritables responsabilités de cette crise. Mais au-delà, si cette fronde rencontre l’adhésion de nombre de catégories sociales excédées de voir leur pouvoir d’achat diminué et les services publics décimés, c’est que cette taxe est symbolique de l’injustice fiscale actuelle : censée vouloir réduire le trafic routier, elle ne s’appliquera pas sur les autoroutes à péage, là où passe l’essentiel du trafic de camions. Seules seront touchées les routes nationales et les routes départementales. Ainsi seront pénalisées les producteurs locaux, alors que gros du trafic européen qui utilise les autoroutes ne sera pas touché. Cette taxe n’a donc d’écologiste que le nom !
Le gouvernement vient de décider de la suspendre sur tout le territoire. La décision de suspendre cette taxe sur tout le territoire confirme que le bricolage devient la marque de fabrique de ce gouvernement. Il s’agit d’un nouveau recul devant la pression patronale. La question d’une fiscalité basée sur le principe du « pollueur-payeur » reste posée.
Pour le Front de gauche, le modèle de l’agroalimentaire productiviste n’est pas soutenable économiquement, socialement et écologiquement. Il faut donc en changer et c’est le rôle des pouvoirs publics, Etat et collectivités locales, d’aider à cette transition, notamment en investissant massivement dans le ferroutage.
Dans l’immédiat, le Front de Gauche exige un moratoire sur tous les plans de licenciements ; il se prononce pour une loi accordant un droit de veto sur les licenciements et un droit de regard des salarié-e-s sur l’utilisation des fonds publics. Il s’agit de protéger les salarié-e-s victimes de plans sociaux en mettant en place une sécurité sociale professionnelle qui garantisse la continuité de la rémunération et de la protection sociale des salarié-e-s.
Il faut ensuite mettre en œuvre un plan de reconversion de l’industrie agroalimentaire bretonne basé sur un élevage et une agriculture moins intensifs pour des produits de meilleure qualité, la relocalisation de la transformation, la fin de la concentration des outils de travail et une juste rémunération du travail salarié et paysan. Ce plan de reconversion doit pouvoir bénéficier des aides des pouvoirs publics, ce qui suppose que l’impératif de restriction budgétaire soit mis de côté. Il doit être discuté avec tous les acteurs concernés. Le Medef et la Fnsea portent une responsabilité écrasante dans la situation actuelle. Ils ne peuvent être les seuls interlocuteurs des pouvoirs publics.
Enfin, il faut en finir avec le dumping social en Europe, mais aussi en France. Ainsi, il n’est pas acceptable, par exemple, que l’entreprise bretonne Gad, qui va licencier près de 900 salarié-e-s, fasse travailler dans des conditions indignes des intérimaires roumains sous payés. Il est de la responsabilité du gouvernement français que la question du dumping social au niveau européen soit posée et de faire en sorte que les pratiques illégales en la matière des entreprises françaises cessent.
Le Front de gauche sera présent à la grande manifestation pour l’emploi en Finistère le samedi 2 novembre, à Quimper appelée à l’initiative du Collectif pour le maintien de l’emploi.

mercredi 30 octobre 2013

LE BAL DES VAUTOURS



Peut-on encore arrêter la finance folle ? Une enquête magistrale au coeur d'un capitalisme financier que plus personne ne maîtrise. Le second volet montre comment, à travers l'éclatement de la bulle immobilière et la crise des subprimes des années 2000, le 'piège à pauvres' s'est refermé.


  • Origine : ARTE
  • Pays : France
  • Année : 2012

Pôle Emploi autorisé à consulter le fichier des comptes bancaires (Ficoba)

Pôle Emploi
© Jackin - Fotolia.com

Un arrêté du 17 octobre dernier, publié ce matin au Journal officiel, ajoute Pôle Emploi à la liste des organismes autorisés à interroger les informations contenues dans le Fichier national des comptes bancaires et assimilés (Ficoba), qui recense l’ensemble des comptes bancaires ouverts en France, et leurs titulaires.

Le Ficoba a pour objet de fournir à certaines personnes et organismes habilités, dans le cadre de l’exercice de leurs missions, des informations sur les comptes bancaires ouverts en France. Il recense ainsi, selon la Cnil, plus de 80 millions de particuliers, français ou non, qui détiennent au moins un compte (courant, d’épargne, etc.) en France. De même source, la Direction générale des finances publiques (DGFiP), qui détient et gère le fichier, traite chaque année environ 100 millions de déclarations de comptes. Les droits d’accès à ce fichier particulièrement sensible (1) sont évidemment strictement encadrés. Son fonctionnement est notamment régi par l’arrêté du 14 juin 1982 « relatif à l’extension d’un système automatisé de gestion du fichier des comptes bancaires ».
Qui peut consulter le fichier ? En premier lieu, évidemment, les agents du fisc, des douanes, de la répression des fraudes et de Tracfin, afin de lutter contre la fraude fiscale et le blanchiment. C’est aussi le cas de la police judiciaire, dans le cadre de la lutte contre le travail clandestin. La Banque de France y a également accès, pour gérer les interdictions de chéquier, et leurs levées. Les établissements de crédit, plus généralement, peuvent depuis peu l’interroger, dans le cadre de la lutte contre la double détention de produits d’épargne réglementée, comme le Livret A. Enfin certains organismes, comme la Caisse d’allocations familiales (CAF) ou les différentes caisses de retraites, qui ont en commun de verser des prestations au public, sont aussi habilités.
A cette longue liste s’ajoute désormais un nouvel organisme : Pôle Emploi. Un arrêté du 17 octobre 2013, publié ce matin, lui ouvre en effet le droit de consulter Ficoba, afin d’obtenir les informations nécessaires à l’exercice de sa mission, et dans la mesure où il le juge nécessaire. Pour mémoire, l'article L152 du Livre des procédures fiscales autorise notamment Pôle Emploi à exercer ce droit pour apprécier les conditions d'ouverture et de maintien de droits pour un demandeur d’emploi, pour calculer les indemnités auxquelles il peut prétendre ou encore pour obtenir le recouvrement de prestations indûment versées.
(1) Il recense, pour chaque compte déclaré, le nom et l’adresse de l’établissement qui le détient, le numéro et la nature du compte, la date d’ouverture et/ou de fermeture et le nom, la date et le lieu de naissance, l’adresse des titulaires.
Par:

dimanche 27 octobre 2013

Information

Bonjour, 

Afin d'élargir notre réseau, je vous invite à partager très largement les liens du blog "Front de Gauche Crépy"
http://fdg-crepy.blogspot.fr/
ainsi que le lien vers la page Facebook correspondante. 
https://www.facebook.com/frontdegauche.crepyenvalois.5

Amitiés, 

Roger-Pierre

Ecotaxes, et si nous creusions un peu la question?



Publié le 27 Octobre 2013
Espace d'échanges, de rêves, de colères et de luttes.

Ecotaxes, et si nous creusions un peu la question?
 Samedi, à deux pas du Phare ouest de Canaille le Rouge, de sévères affrontements sous les portiques éco taxes ont opposé des manifestants au "forces de l'ordre".
 Avant d'aller plus avant dans l'exploration de ce fouillis volontaire que sont ces écotaxes et pour élaguer les branches qui empêchent de voir à quoi ressemble le maquis, juste un aparté :
C'est quand même vertigineux de voir les patrons qui ont soutenu et soutiennent toujours cette droite qui leur a pondu la décision de les installer manifester au côté de travailleurs qui subissent cette décision et les choix sociaux au service des patrons fait par ceux qui les mettent en service.
Fou de voir des paysans se ranger derrière des patrons de la FNSEA presque tous administrateurs des caisses locales et régionales du Crédit Agricole (et qui votent là les décisions qui étranglent les paysans) et pourvoyeur des caciques de l'UMP auteur des écotaxes. Roses et blancs-bleus vizirs zélés de l'Union Européenne se dédouanant de leurs responsabilité dans cette crise qui s'ajoute à a Crise.
Surprenant de voir des agriculteurs de la confédération paysanne qui avec EELV sont des chauds partisans des écotaxes à Bruxelles barrer les routes qui mettent en œuvre ce qu'ils ont sollicité lors des élections aux chambres d'agriculture.
Ca n'tourne pas rond dans certaines têtes… hélas nombreuses.
Revenons à l'essentiel. Ce n'est pas la première fois que Canaille le Rouge vous entraine sur les rives de cette question mais il faut revenir sur le fond.
Déjà abordé au travers de la spéculation sur les droits à polluer industriels (Mittal par exemple) Canaille le Rouge portait éclairage sur la partie cachée de l'usine à gaz :

La partie transport n'est pas moins importante, ne serait-ce que par la charge de proximité, celle de pouvoir d'achat ressenti et de qualité de vie quotidienne qu'elle porte.
En gros de quoi s'agit-il : simultanément à des mesures de livraison au "privé" (lire capital) des réseaux de transports (fer air route) décisions coordonnées par Bruxelles mais prises par transpositions dans le droit des états abandonnant dès lors leur souveraineté, ces états soit disant au nom de la lutte pour la protection de l'environnement décident la mise en place de droits à polluer. Nom certes moins poétique, mais plus juste de la mesure appelée "écotaxe".

Ces taxes, parole de socialiste serment de réactionnaire, vont servir à entretenir le réseau routier non privatisé.
Hic, de taille : en droit fiscal et en droit tout court, il est interdit d'affecter une taxe : elle entre dans les caisses publiques et est utilisée au grès des budgets et lois de finance. Pour ceux qui en doutent, la vignette auto (mise en place par Guy Mollet –et oui, déjà !) prévue pour financer la "retraite des vieux" (sic) premier rose cadeau pour désengager le patronat du financement des retraites, est là pour le rappeler.
Avançons au milieu des broussailles et n'hésitons pas à tailler dans la ramure des idées aussi fausses qu'apparentes.
Les mêmes qui depuis 20 ans au gré des alternances ont régionalisé et départementalisé l'entretien du réseau routier pour ne pas faire figurer ses coûts dans la part état du budget ont aussi pris des mesures en parallèle : "incitations fermes" au désengagement de la SNCF du trafic marchandise (En particulier les dessertes de proximité : le trafic diffus et le lotissement), ont fermé les triages et gares marchandises, subventionné sur fond public de tout niveau des ports secs et zones franches de transit dégagés de toutes garanties sociales pour fragmenter l'organisation du travail et casser les garanties collectives des salariés. PS et UMP sont rois en la matière, mais de Calais à Port-Bou, ils ne sont pas seuls, voir ce que La Canaille en disait il y a quelques temps :(les-autoroutes-de-la-désertification-industrielle-et-de-la-casse-des-garanties-collectives)
Simultanément, histoire de ne pas user le réseau routier (non concédé: donc gratuit), droite et PS on fait passer la charge utile des poids lourds de 35 à 44 tonnes. De qui se moque-t-on ?
Le réseau privé (financé sur denier public et offert à Cofiroute et autres vitrines de Vinci Bouygues et autres), façades des banques drainent les fruits du racket, plus préoccupés d'entretenir le taux de dividende que les infrastructures (que pourtant ils ont obligation légale -théorique - de faire).
 Simultanément, les économies de péages patrons du transport routier bien évidement sans prendre en compte les conditions de travail et la sécurité des chauffeurs routiers, renvoient sur le réseau "ouvert" (donc privé de moyens), les trafics qui défoncent les routes et permettent aux gouvernements de justifier idéologiquement les écotaxes et d'installer des péages sur le réseau public comme sur la RN 10 au sud de Bordeaux ou l'installation de ces fameux portiques de façon plus général.
Pourtant outre la remise sur rail et canaux ce qui n'a rien à faire sur route, d'autres solutions existent.  Mais elles ont l'inconvénient de faire payer le bénéficiaire réel de l'infrastructure ce qui est insupportable pour le capital.
 Ces solutions sont connues et ont fait leurs preuves (c'est pour cela que l'UE les a fait supprimer). Déjà revenir à la taxe à l'essieu qui fait que c'est le chargeur qui paie au prorata de l'usage qu'il fait de l'infrastructure et non pas l'usager du réseau.
 Ensuite limiter la Charge des poids lourds à 27 tonnes. Et faire que par la maitrise publique des lettres de voitures soit mis en place une tarification progressive liée à la longueur du parcours de façon à épargner les dessertes terminales, faire contribuer les trafics régionaux et taxer les trafics internationaux et le cabotage. Dit autrement aller à contre-courant des ukases de l'U.E. et de ce que les eurocrates techniques et politiques (en fait par pantouflage les mêmes, issus ou allant de et vers les grands groupes imposent aux populations qui paient fort cher une absence d'entretient réel.
L'argument principal opposé à ces mesures et les exigences de flux tendu pour la production et les ruptures de charge.
Tous les acteurs non bardés de présupposés ultralibéraux intervenant dans les transports savent que sauf pour une minorité de produits périssables qui demandent une organisation spécifique, ce qui compte ce n'est pas la vitesse d'acheminement, mais la régularité d'approvisionnement. Le chef de chantier d'un grand équipement quelconque se moque de savoir si le sable qu'on lui livre met trente heures ou trente jours pour venir, ce qu'il veut, c'est qu'il arrive à l'heure et régulièrement. Le raisonnement vaut pour une chaine de montage industriel, cela indépendamment du pourquoi, mesures anti luttes sociales, le capital a fragmenté ses sites de productions intégrés pour interdire les cohérences revendicatives et jouer les mises en concurrence des salariés (GAD ou PSA dans l'actualité après l'exemple emblématique de Vilvoorde ou plus près de nous Goodyear en témoignent).
L'environnement des écotaxes est là.
Deux ou trois points singuliers qui éclairent ce qui précède sont aussi à relever : le transport routier est le plus polluant (ne serait-ce que pour les microparticules dégagées par la combustion des moteurs diesel). La traction électrique (qui n'est pas absente d'autres débats) au moins limite la question : une vache qui regarde passer les trains risque moins un cancer des poumons que sa cousine qui compte les poids lourds sur un échangeur. Et quelques chose dit à La Canaille que si cela vaut pour les vaches, c'est valable aussi pour une citée populaire une école ou EPHAD.
Alors bien sûr, une autre politique des transports ne satisferait pas les bénéficiaires réels des mesures co-décidées entre la France et l'Union Européenne.
 Ce qui démontre la duplicité de certains des manifestants auprès des portiques, la manipulation pour en faire venir d'autres qui n'ont rien à y faire et le refus du personnel politique de creuser les vraies questions. Si Canaille le rouge arrive seul dans son coin à les effleurer c'est bien qu'il y a refus frontaux pour eux de s'y affronter ou de défendre l'état des choses existant ce qui revient au même 
Tant qu'on acceptera de rester dans ce carcan politique pas d'issue à la tenaille ultra libérale. La démonstration par les portiques des routes bretonnes est là pour le démontrer

France 3 Picardie-La voix est libre-Jean-Pierre Bosino - 26 octobre 2013

Première partie de l'émission

Seconde partie (manque les 3 premières minutes)

samedi 26 octobre 2013

(Selon Manuel Valls, l'heure d'été
 n'a pas vocation à rester en France.)

PIERRE RABHI, PAYSAN PHILOSOPHE




Rencontre avec Pierre Rabhi


QU'EST-CE QU'ON ATTEND POUR ÊTRE HEUREUX ?

jeudi 24 octobre 2013

LES ÉCHOS DE CAMPAGNE...


Pierre Praddaude soutient Bruno Fortier à Crépy


Publié le 11 oct. 2013 par le Parisien

(LP/C.B.)

Pierre Praddaude, ancien maire de Crépy-en-Valois, a choisi son candidat. Il soutient
 corps et âme Bruno Fortier, l’ancien adjoint au maire UMP Arnaud Foubert. Pas question pour Pierre Praddaude de soutenir le maire actuel.

mercredi 23 octobre 2013

Les Jours Heureux


Voici la bande annonce 

"Les Jours Heureux" 

À regarder, partager, diffuser, aimer...

Et le 6 novembre c'est 

la sortie nationale donc on va au ciné!!!






 L’interview de Gilles Perret, pour le dossier pédagogique à disposition des professeurs qui souhaitent organiser des séances scolaires autour du film.

Comment est né votre désir de raconter cette histoire ?
Qu'est-ce qu'un réalisateur se pose comme questions de cinéma pour raconter une telle histoire ?
À quel moment s'est faite l'écriture du film ?
Comment avez-vous choisi vos personnages ?
Aviez-vous des questions communes pour chacun des personnages ?
Seul Léon Landini est présenté dans des lieux historiques, comment l'expliquez-vous ?
Quelle place donnez-vous aux archives dans votre film ?
Comment fait-on un film historique lorsqu'on ne dispose que de peu d'archives sur la période traitée ?
Il y a une scène où Landini et Hessel sont en désaccord. Était-ce évident que cette scène serait dans le film ?
Quel était votre dispositif au moment du tournage ?
Sur le tournage, qui tient la caméra ?
Comment avez-vous abordé les deux thèmes musicaux du film ?
Quelles directives avez-vous données à votre compositrice ?
Avec ce film, que pensez-vous apporter de plus aux travaux des historiens qui s'intéressent à cette période ?
À quel moment avez-vous fait le choix de terminer le film sur les paroles des résistants ?
Étaient-ils prévenus que cette intervention serait montée à la fin du film ?
Pourquoi Léon Landini n'a-t-il pas été associé à cette prise de parole finale ?
La notion de pédagogie revient souvent dans vos paroles. Quelle place tient-elle dans votre métier de réalisateur ?
La première partie de votre film est réalisée sur un mode informatif. La seconde évolue vers le militantisme. Que pouvez-vous nous en dire ?

Générique de fin

lundi 21 octobre 2013

AGENDA

Crépy-en-Valois

  Quelle ville voulons-nous maintenant ?

2014 élections municipales
Et si, nous partions de nos préoccupations pour bâtir ensemble 
un projet collectif, où l’HUMAIN
 serait au centre ?

Venez en discuter avec nous
Dans une ambiance conviviale

mercredi 13 novembre
A 20 heures
Salle des fêtes
De Crépy-en-Valois



Réunion publique ouverte à tous, organisée à l’initiative du Front de Gauche

Dernière agression invraisemblable faîte contre Xavier Mathieu




la direction de Continental a décidé de faire un exemple en s’en prenant à Xavier de façon indigne et répugnante. Non seulement elle a refusé de le réintégrer malgré les injonctions du tribunal administratif d’Amiens mais aujourd’hui elle convoque Xavier pour le 23 octobre à Sarreguemines, de façon surréaliste, en vue de le licencier une nouvelle fois et lui réclamer toutes ses indemnités de licenciements. Oui, cette folie se passe en France au XXIème siècle, sous un gouvernement socialiste.


Ils veulent la peau de Xavier !!!!

Un appel qui est décisif pour notre avenir à tous
Tous présents, mercredi 23 octobre à 18h30 
à la cantine de l’usine.
Il nous faut répondre au coup de force 
de la direction de Continental.

URGENT Rassemblement le 23 octobre à 18h30 à l'Usine de Clairoix

Depuis le jugement du conseil des Prud’hommes fin aout, la direction de Continental à Hanovre, par l’intermédiaire de ses sbires Gérard et Thomas, mène une offensive pour liquider le dossier Continental Clairoix en se débarrassant de toutes leurs obligations.
Pourtant, la plus haute juridiction en France, la Cour de Cassation, vient de rendre un arrêt en septembre contre Continental France et Continental AG déclarant que tout licenciement non justifié par une situation économique à l’échelle du groupe au niveau international devait être automatiquement considéré comme sans cause réelle. Cela était jugé à partir des licenciements pour l’usine de Rambouillet mais évidemment cela vaut pour tout Continental et pour tous les groupes industriels en France.
Alors, même que la justice, qui n’est pas d’emblée favorable aux salariés, est obligée de reconnaître que toutes nos demandes sont justifiées. 
On aurait pu attendre que l’Etat et tous ses services viennent nous appuyer pour faire respecter la loi et le droit. Il n’en est rien. 
Aussi confortée par ce silence et cette démission, la direction de Continental a décidé de faire un exemple en s’en prenant à Xavier de façon indigne et répugnante. Non seulement elle a refusé de le réintégrer malgré les injonctions du tribunal administratif d’Amiens mais aujourd’hui elle convoque Xavier pour le 23 octobre à Sarreguemines, de façon surréaliste, en vue de le licencier une nouvelle fois et lui réclamer toutes ses indemnités de licenciements. Oui, cette folie se passe en France au XXIème siècle, sous un gouvernement socialiste.
Derrière l’agression invraisemblable faîte contre Xavier, c’est à nous tous les travailleurs de Clairoix et au-delà à tous ceux de Continental que la direction veut s’en prendre. Si on la laissait faire, elle fermerait brutalement tout le dossier Continental Clairoix et paraderait de façon indécente, comme pour se venger de tout ce que notre lutte lui a imposée.
Il ne faut pas que ces petits bonhommes se croient tout permis. C’est pourquoi il est vital que chacun vienne à notre assemblée et nous pourrons nous expliquer de ce que nous pouvons faire, car nous avons les moyens de leur faire rentrer dans la gorge leur arrogance, pour faire respecter nos droits. En commençant par faire bloc aux cotés et derrière Xavier. 
Tous présents mercredi (prévenez tous ceux que vous connaissez) !

Le comité de lutte, le 16 octobre 2013

mardi 15 octobre 2013

Appel du Front de Gauche aux citoyens et citoyennes de Crépy en Valois pour les élections municipales de mars 2014

Les 23 et 30 mars prochains, les élections municipales auront lieu dans toute la France. Dans chaque commune, vous serez appelés à élire vos conseillères et conseillers municipaux, vos maires, pour six ans, ainsi que les élu-e-s dans les intercommunalités.

Voter est un droit ! Pouvoir l’exercer implique d’être inscrit sur les listes électorales d’ici le 
31 décembre 2013.


Nous savons que ces élections vous paraissent encore lointaines par rapport aux préoccupations qui vous assaillent chaque jour. Nous vous lançons un appel : de la plus petite à la plus grande commune, ces élections auront une très grande importance sur votre vie et votre ville. C’est à vous, à nous, toutes et tous ensemble, dans chacune de nos communes d’en décider. 

Nous avons besoin que ça change pour mieux vivre le plus vite possible. Il y a urgence !


dimanche 13 octobre 2013

Un grand nombre de Crépynois sont directement touchés par les tarifs des transports franciliens


Les transports sont un bien de première nécessité : la TVA doit baisser de 7% à 5% !


Lors du débat d’orientations budgétaires du STIF, Laurence Cohen, conseillère régionale du groupe Front de Gauche PCF-GU-AC, a alerté sur le risque de nouvelles hausses de tarifs pour les usagers des transports franciliens.
Cette augmentation, qui se situerait autour de 3%, s’explique par le projet de hausse de la TVA de 7% à 10 % qui représenterait une facture de 100 millions d’euros à payer pour le STIF.
Contrairement aux propos tenus par Benoît Hamon, en réponse à une question orale de Laurence Cohen au Sénat, cette hausse de TVA impactera évidemment les usagers.
Dans un contexte de pouvoir d’achat en berne pour la majorité de nos concitoyens, cette décision serait particulièrement malvenue, d’autant que les conditions de transports sont toujours très difficiles pour nombre de Francilien-ne-s.
Pour le groupe Front de Gauche, le gouvernement et le Parlement doivent décider une baisse de la TVA sur les transports en considérant que c’est comme pour le logement un bien de première nécessité.
Il est de plus en plus urgent de trouver de nouvelles recettes pour les transports, en harmonisant le versement transport, pour à la fois mettre en œuvre la zone unique promise ainsi que du renfort d’offre.
Le fait que la majorité de gauche du Conseil Régional se rassemble sur le diagnostic et les moyens pour y remédier est une très bonne nouvelle pour Laurence Cohen. Cela devrait permettre de faciliter les votes au Parlement !
C’est dans cet esprit qu’elle a affirmé sa disponibilité, ainsi que celle des élu-e-s Front de Gauche, pour rencontrer, avec les autres forces de gauche, le Premier ministre afin qu’il entende les arguments avancés en réduisant notamment le taux de la TVA lors de l’examen du projet de loi de finances pour 2014.


COMMUNIQUÉ DU FRONT DE GAUCHE DE L’AGRICULTURE

UTILISER LES MARGES DE MANOEUVRE NATIONALES DE LA PAC POUR SOUTENIR L’AGRICULTURE PAYSANNE ET ECOLOGIQUE
Maïs
Dans le cadre des concertations avec les organisations agricoles pour décliner au niveau national l’accord européen sur la PAC décidé en juin dernier, le gouvernement propose 4 scénarios qui apparaissent bien insuffisants, même si le 3ème permettrait une certaine redistribution des soutiens.
En juin dernier, l’accord européen sur la réforme de la PAC, avait pour but d’insérer durablement l’agriculture européenne dans des échanges internationaux complètement libéralisés. En aucun cas cet accord ne permet de redéfinir un réel projet européen au service de la souveraineté alimentaire et de la transition écologique de l’agriculture.
Le Front de Gauche s’inscrit en faveur de plusieurs leviers de la PAC mobilisables au niveau national : faire « converger » totalement les « aides directes » dites « de base » pour diminuer les inégalités de soutiens entre agriculteurs ; doter davantage les petites exploitations en utilisant à plein le paiement dit « redistributif » ; utiliser le recouplage partiel des aides directes (15% des aides) pour soutenir les secteurs en difficulté (élevage ruminant, notamment ovin, caprin et bovin allaitant ; fruits et légumes) et relancer la production de plantes riches en protéines (légumineuses) ; favoriser l’installation d’agriculteurs en les accompagnant vers des pratiques agro-écologiques avec des aides incitatives ; mettre en place un paiement vert, beaucoup plus contraignant, pour rémunérer véritablement les pratiques agricoles respectueuses de l’environnement (élevage à l’herbe, agroforesterie, cultures de légumineuses…). Dans le cadre de la politique de développement rural, il faut dégager un financement important pour les mesures agro-environnementales afin de cibler les agriculteurs qui s’engagent dans des systèmes de production agroécologiques et pour les mesures qui permettent de structurer les filières courtes et de proximité.
Les différents scénarios proposés par le gouvernement manquent d’ambitions pour refonder la PAC et atteindre les objectifs de redistribution des aides et de transition écologique. Le scénario 3 va dans le bon sens (convergence totale des aides de base d’ici 2019, paiement redistributif pour les 52 premiers hectares), mais reste insuffisant.
Le Front de gauche appelle le gouvernement à faire preuve d’indépendance par rapport aux lobbys de l’agro-business. Le Front de gauche continuera à se battre pour une nouvelle PAC basée sur une régulation des prix et marchés agricoles et une redistribution du soutien, au profit de l’emploi et de la transition écologique de l’agriculture.