Les militants du Front de Gauche invitent les habitants à en débattre ensemble. Ne renonçons pas au changement, à nous de nous en mêler.

vendredi 28 février 2014

A Paco

Paco. 

Paco, il y a tant de Paco, de Paquito que pour te différencier en Andalousie, tu étais Paco de la « portugaise » ou Paco de Lucia, ta chère maman.
Paco, je suis devenu fou en essayant de suivre tes doigts. Certes, je n’ai pas eu tes mots de têtes pendant que tu te mesurais en joutes musicales aux jazzmen mais j’aurai tant voulu troquer mes 14 heures de chantiers contre tes 14 heures de gammes quand tu n’avais que 14 ans.

Paco, tu fus une star sous le franquisme parce que la résonnance de tes cordes, la résonnance des corde vocales de Camaron de la Isla -tu te souviens, celui qui était prêt à « donner sa chemise pour ton mariage » - putain Paco, tu leur a montré qu’un gitan est plus qu’un amuseur avec sa guitare : Django était entrait dans le panthéon avec sa  Marseillaise mais être gitan, c’est un monde qui s’ouvre à nos portes, un monde de partage et une souffrance séculaire que la voix érayée  de Camaron nous fit toucher.

Souviens-toi des théâtres bondés. Moi, petit blanc, je ne comprenais pas les commentaires des spectateurs en plein spectacle, les danseurs qui rendaient hommage à leur famille, leur cousine ou à une belle-mère perchée dans les loges du haut. Et la fin du concert, avec ceux du public qui venaient enseigner à l’artiste les pas qu’il n’avait su faire de manière harmonieuse. Parce qu’on ne plaisante pas avec l’harmonie!

Je suis sûr que dans le ciel, une étoile est née. Et merde à Franco.

Ces quelques lignes à lire avec en écoutant « entre dos aguas » de Paco ou « como el agua » avec Camaron.


Laurent S.


mercredi 26 février 2014

« LES JOURS HEUREUX » UN PROGRAMME EN RUPTURE POUR UN VRAI CHANGEMENT

« LES JOURS HEUREUX »

UN PROGRAMME EN RUPTURE

POUR UN VRAI CHANGEMENT


Le Front de gauche vous invite à rencontrer les membres de la liste « l’Humain d’abord » et à découvrir le programme municipal élaboré collectivement avec des habitants de la ville tout au long de ces dernières semaines.

Autour d’un BANQUET CITOYEN, vous pourrez exprimer vos IDÉES,  poser vos QUESTIONS, bavarder avec vos VOISINS, écouter des CHANSONS, discuter avec les candidats…
 Amenez vos voisins, vos amis…

Apportez un instrument de musique 

si vous en avez un…

Venez en tous cas partager

ce moment avec nous !


Vendredi 28 février 2014
À partir de 19 heures
Salle des fêtes de Crépy-en-Valois

Soirée gratuite et ouverte à tous 
Possibilité de réserver en appelant  au : 03.44.87.05.30

 Venez faire la fête. Avec une GAUCHE
Qui ose faire FRONT !



dimanche 23 février 2014

Réunion publique du 18/02/2014 à la salle des fêtes de Crépy

« COMMENT RENDRE NOTRE VILLE
PLUS  CONVIVIALE ET SOLIDAIRE ? »



Dans le cadre de l’élaboration de notre programme municipal, une réunion publique s’est tenue le 18 février.

Toujours sous forme de « conférence populaire », le débat prenait appui cette fois-ci sur la question : « Comment rendre notre ville plus conviviale et solidaire ? »

Réunis par petites tablées autour d’un verre, les participants ont abouti unanimement sur la nécessité de créer les conditions pour favoriser les relations entre les habitants et leur permettre de se réapproprier leur ville. Plusieurs champs thématiques s’entrecroisant dans ce vaste « chantier », les problématiques de l’emploi (déjà traitée précédemment) ou de la démocratie ont également été discutées.

Rendre notre ville plus conviviale et solidaire passera de toute évidence par la multiplication d’initiatives favorisant la relation entre les citoyens.

Voici un petit extrait des possibilités évoquées:

 
  • Favoriser le « vivre ensemble » dans la conception des habitats et des quartiers (mixité sociale, espaces verts aménagés communs, maisons de quartier, commerces de proximité…)
  • Instaurer une vraie démocratie locale permettant la réappropriation de la ville par les habitants (conseils de quartiers, budgets participatifs, bilan annuel de l’action municipal…)
  • Créer une maison des solidarités  et soutenir davantage les associations existantes afin qu’elles puissent fonctionner correctement…
  • Développer des services non-marchands (troc de services, échange de savoirs)…
  • Inventer des événements inter-quartiers et inter-générations…
  • Utiliser l’espace du Cours Foch où se tient déjà le « Crépy-plage » pour y développer d’autres attractions tout au long de l’année…
  • Relancer la ludothèque avec un financement municipal suffisant pour salarier des animateurs…

Beaucoup d’autres idées ont été exprimées. De nombreuses possibilités existent, sans demander forcément des moyens financiers importants.  Soyons innovants !

Voici un petit extrait vidéo:



Prochaine réunion publique
Vendredi 28 février, à partir de 19 heures
Salle des fêtes de Crépy

Conférence de presse 
avec la présentation de la liste et du programme
Suivie d’un banquet citoyen
Avec chansons, discussions et échanges

samedi 22 février 2014

Commander le numéro spécial de l'huma dimanche

L’Humanité publie un hors-série hommage au groupe Manouchian, pour les 70 ans de l’Affiche Rouge. Un CD inédit de HK et les Saltimbanks chantant l’Affiche Rouge est inclus, avec également un poster reproduisant l’Affiche Rouge et aussi le poème saisissant de Louis Aragon.



Ce hors-série de 52 pages de l’Humanité consacré aux 70 ans de l’Affiche Rouge permet de se remémorer le sacrifice du groupe Manouchian qui suscite depuis ce jour admiration et dignité. L’Humanité vous dévoile des documents d’archive qui pour la plupart ne sont jamais parus encore jusqu’à aujourd’hui, avec notamment un portrait de Missak Manouchian, un entretien avec Julien Lauprêtre, des témoignages poignants notamment celui de Léon Londini ou encoreRoger Trungan ainsi que divers documents.
A Crépy en Valois 
réservation à faire auprès de 
Maurice Chardonnet au 0344876059 cette semaine

jeudi 20 février 2014

Les rythmes scolaires en question à Crépy en Valois?

Éprouvés par le précédent gouvernement de droite, les profs d’école sont aujourd’hui remontés comme jamais contre le décret sur les nouveaux rythmes scolaires. Mais sur le fond, de quoi parle-t-on exactement? Il s’agit concrètement de répartir le mieux possible  24 heures d’enseignement sur 9 demi-journées hebdomadaires, contre 8 précédemment, c’est à dire de décider des horaires d’entrée et de sortie, de la durée de la pause du midi, de l’articulation entre les cours et les activités périscolaires, voire de préférer le samedi au mercredi.

Avec la réforme, il est demandé aux élèves d’apprendre plus de choses en moins de temps et de faire accepter l’idée que tout ne peut être enseigné sur le temps scolaire et que ce qui ne peut l’être serait aussi bien transféré hors du temps scolaire. Il s’agit, en vérité, de remplacer le temps précieux des écoliers par des heures d’activités à moindre coût, que l’on pourra confier à des associations et bientôt au privé par des appels d’offre auprès des mairies.

Il va falloir mobiliser beaucoup d’argent au niveau des communes pour que la réforme voulue par l’Etat trouve son plein régime. Il manque à l’évidence beaucoup de personnels qualifiés mais aussi et  surtout des locaux appropriés. Faute d’infrastructures aux abords des écoles, les intervenants du périscolaire n’auront parfois d’autre choix que d’utiliser les salles de classe! Et si le DASEN (directeur académique) en accord avec le Maire ne trouve rien à redire, les instits seront vite en colère.

 On ouvre en grand, avec cette réforme, le boulevard des inégalités entre les enfants des différentes communes, du marché scolaire, et des petits pouvoirs locaux. C’est un danger réel pour l’unité nationale de l’école primaire et le principe de gratuité du service public d’éducation. C’est surtout pour le moment la décision calamiteuse d’un gouvernement, sourd aux attentes du terrain, qui a complètement accepté, dans tous les domaines, y compris l’éducation, les idées néolibérales, poursuivant, à son tour, de manière sournoise, la casse déjà bien engagée de l’école de la République.
  
Par conséquent, il faut que s’engage au niveau local et national une grande réflexion citoyenne. Que veut-on pour l’école publique? Comment l’éducation nationale doit-elle assumer ses missions? Avec quels moyens? Quels locaux? Quels choix financiers? Quels personnels? Quels contenus? Quelles structures périscolaires? Se contenter de vouloir imposer des nouveaux rythmes dans des classes toujours plus chargées sans y mettre  les moyens  nécessaires est un projet sans véritable ambition. Il consiste seulement  à faire accepter le renoncement à un même enseignement de qualité pour tous.

LES CANDIDATS DU FRONT DE GAUCHE
DE LA LISTE « L’HUMAIN D’ABORD » PROPOSENT :

·       La consultation de tous les conseils d’école avant toute prise de décision modificative par le maire des rythmes scolaires dans la commune.

·       La création d’un observatoire municipal des inégalités scolaires rassemblant des élus, des enseignants, et des parents d’élèves pour défendre la gratuité du service public d’éducation et donner la priorité aux élèves en difficulté.    
    
·       L’ouverture de centres de loisirs associés à l’école (CLAE) permettant une parfaite articulation entre l’école et le périscolaire.


mercredi 19 février 2014

Nos principaux engagements sur l'emploi à Crépy en Valois





Nouvelle attaque du statut d’intermittent par le MEDEF



Tout à son obsession de supprimer le statut des intermittents du spectacle, le MEDEF s’attaque encore, sous l’hypocrite argument « d’équité », au régime d’indemnisation chômage qui est un des rouages essentiels de ce que l’on appelle l’exception culturelle française.
Rappelons que le régime des intermittents a pour but de prendre en compte le mode de fonctionnement du secteur du spectacle où l’emploi précaire est la règle. L’indemnisation des intermittents est régie par des règles spécifiques regroupées dans les annexes 8 (ouvriers et techniciens) et 10 (artistes) de la convention d’assurance chômage. C’est sur ces annexes que s’acharne le MEDEF rajoutant de la précarité à la précarité mettant une fois de plus ce gouvernement dans la position de choisir entre une politique sociale et une politique ultra libérale. 
Plus le gouvernement cède au Medef et plus le Medef exige. Que sont devenues les promesses en faveur d’un maintien des règles d’indemnisation spécifique au secteur de Madame Filipetti et de Monsieur Sapin au Festival d’Avignon ?
Le gouvernement prépare t’il déjà une énième capitulation ?
Le Front de Gauche apporte tout son soutien et sa solidarité aux intermittents.

La culture contribue 7 fois plus au PIB français que l'industrie automobile avec 57,8 milliards d'euros de valeur ajoutée par an. Son coût total pour la collectivité approche 21,5 milliards d'euros.
Une dépense à perte la culture en France ? Ce n'est pas ce que montre le dernier rapport conjoint des ministères de l'Economie et de la Culture. Selon ce rapport, la culture contribue à hauteur de 57,8 milliards d'euros au PIB (valeur ajoutée). Il s'agit de la valeur ajoutée directe, c'est à dire du seul fait des activités culturelles. Ce qui équivaut à 3,2% du PIB, soit sept fois la valeur ajoutée de  l'industrie automobile. Ces chiffres sont basés sur les calculs de l'Insee.
Le chiffre ne paraît pas exagéré puisqu'une autre étude du cabinet privé Ernst & Young parue en novembre avait évalué le chiffre d'affaires direct des industries culturelles et créatives à 61,4 milliards d'euros

mardi 18 février 2014

Vie de quartier : Aménagement du quartier Carnot - Bois de tillet - Hêtres… et si on nous consultait ?


Le 24 septembre 2013, l’ensemble des élus de droite du Conseil municipal de Crépy ont voté pour le Projet d’Aménagement Global « secteur Bois de tillet ». Les élus des listes Foubert, Fortier ou Sinet ont approuvé un projet de construction de 415 logements entre les rue Saint Germain, Bois de tillet et Carnot. Ce projet impacte les riverains de la rue des hêtres qui sera reliée avec la rue du bois de tillet (selon le plan).
Le rapport du conseil municipal indique que « le projet a été présenté à la population lors de l’enquête d’utilité publique a été menée dans le quartier, entre les 4 avril et 4 mai 2013 ». Nul n’est sensé ignorer la loi mais le respect des habitants impose que l’on procède à une véritable consultation.
Ce méga-projet s’est dans le dos des citoyens pour le plus grand bénéfice d’un promoteur immobilier. Des terrains dédiés à l’activité économiques sont requalifiés « constructibles ». Dans l’opération, c’est le jack-pot pour les propriétaires qui toucheront une belle plus-value (le parisien, 10 octobre 2013), le prix des terrains requalifiés augmentant fortement.
Quel en seront les impacts ?
Emploi : Les entreprises Solaufil et Akacia déménageant dans ces conditions offrent elles des garanties pour le maintien de l’activité et de l’emploi à Crépy ?
Logement : Ce méga-projet immobilier s’adresse-t-il aux Crepynois en attente de logement ? Ce qui se construit depuis des années à Crépy ne bénéficie pas aux habitants mais aux classes les plus aisées cherchant des placements.
Sécurité routière : la création de nouvelles voies de passage impliquera une hausse significative du trafic routier. Les problèmes de sécurité, rue du bois de tillet sont récurrents (accident corporels et dommages aux véhicules stationnés).
Démocratie : La consultation des habitants concernés devrait être la règle dans la redéfinition de projets urbains aussi importants.
Ecologie / Risques industriels: Les sols destinés à accueillir des logements sont ils dépollués ? La construction de logements ou d’une résidence de personnes âgées est elle raisonnable à proximité d’entreprises présentant des dangers (LIBELTEX - Rapport du commissaire enquêteur / Sous-préfecture de Senlis, décembre 2013). Les terrains occupés pour les jardins ouvriers disparaîtront.

*    Le Front de gauche demande l’arrêt du projet immobilier. La mise a plat du projet et la consultation des habitants pour l’avenir de leur quartier.
*    Le Front de gauche propose que les conseils de quartier soient des lieux de débat où la parole de chacun compte.


Une réunion publique sur le logement, 
la vie de quartier et la convivialité
se tiendra le 18 février 2014 
salle de la fête de Crépy en Valois.

lundi 17 février 2014

De renoncement en renoncement ...


 
Le 19 février à l’Elysée, François Hollande et Angela Merkel rendront publique leur position commune sur la taxe sur les transactions financières (TTF) européenne. Depuis plusieurs mois Bercy et les banquiers s’efforcent de vider de son contenu le projet de la Commission, qui a le soutien de l’Allemagne.
295 associations, ONG et syndicats de 17 pays européens interpellent François Hollande pour qu’il ne cède pas à la pression du secteur financier et que soit mise en place dès 2015 une véritable TTF.
Attac vient de publier une note d’interpellation : « Taxe Tobin européenne : pourquoi veulent-ils la saboter ? », qui fournit les éléments essentiels du débat.
  
 
Après quinze ans de mobilisation, Attac voit sa mesure fondatrice, la taxe Tobin, proche d’aboutir. Début 2013, la Commission européenne a présenté un projet de taxe sur les transactions financières (TTF) pour être mis en œuvre dans onze pays de la zone euro, dans le cadre d’une coopération renforcée. La décision finale des onze pays concernés est imminente.
L’assiette proposée est large : la grande majorité des transactions financières serait concernée, à l’exception regrettable des transactions de change. Les taux proposés sont intéressants : 0,1 % pour les actions et produits structurés et 0,01 % pour les produits dérivés. Le Parlement européen propose de relever ce taux à 0,05 %.
Avec les seuls onze pays participants, cette taxe rapporterait 36 milliards d’euros, qui pourraient servir à protéger l’emploi et les services publics et à financer les engagements internationaux français et européens en matière de lutte contre la pauvreté et de changement climatique. En France seulement, la TTF européenne rapporterait 10,8 milliards d’euros, contre 0,6 milliard pour la dérisoire taxe de bourse promue début 2012 par Nicolas Sarkozy sous le vocable mensonger de TTF.
Malgré ses lacunes, la proposition de la Commission représenterait une avancée. Elle pourrait permettre de dissuader la spéculation et le trading à haute fréquence, et de réduire la taille et l’instabilité des marchés financiers : un premier pas pour réduire durablement le pouvoir de la finance.
Pourtant, depuis juin 2013, le lobby bancaire fait de la résistance. Christian Noyer, le gouverneur de la Banque de France, a encore déclaré récemment sans aucune retenue qu’« avec la TTF les banques partiront ». Bercy s’emploie donc à vider de son contenu le projet de la Commission. En introduisant de nombreuses exemptions notamment sur les produits dérivés, la France semble vouloir reproduire la soi-disant « TTF » française à l’échelle européenne. Une taxe vingt fois moins ambitieuse que le projet de la Commission !
La note d’interpellation publiée aujourd’hui par Attac propose un éclairage sur les éléments clés du projet de TTF européenne ainsi que sur les raisons de l’opposition farouche de Bercy et des banques. C’est un outil au service des citoyennes, pour que le gouvernement français cesse de saboter ce projet et mette en œuvre dès 2015 une TTF ambitieuse avec les dix autres pays volontaires de la zone euro.
Attac France

nformations complémentaires
·         Note Attac France — Taxe Tobin européenne : pourquoi veulent-ils la saboter ?
·         Tribune — Ne cédons pas face au lobby des banques
·         Lettre ouverte — M. Hollande, ne cédez pas à la finance !
·         Mobilisation citoyenne — Envoyez la lettre ouverte à F. Hollande !

dimanche 16 février 2014

La liste du Front de gauche a été déposée en préfecture



Il est temps de mettre fin à des rumeurs qui circulent depuis quelques jours dans notre ville :

Non, Le Front de gauche ne fait pas liste commune avec le PS et son candidat Jérôme Furet. 

Dès le début de notre campagne nous avons précisé notre position et celle-ci n’a pas changé.

Notre liste  « l’Humain d’abord », complète avec ses 33 noms, a d’ailleurs été déposée en préfecture vendredi 14 février par Pierre-Marie Jumeaucourt  (tête de liste).

Composée de membres du Front de gauche et de citoyens non-encartés qui se reconnaissent dans nos valeurs, cette liste est aujourd’hui, à Crépy-en-Valois, la seule liste se revendiquant clairement de la gauche.

Notre volonté est de combattre les politiques de droite et de proposer une véritable alternative.

Nous vous invitons à nous rejoindre dans cette belle et noble aventure et à mener campagne avec nous!

Nous vous convions dès à présent à venir à la soirée festive que nous organisons le vendredi 28 février à 20 heures à la salle des fêtes. Lors de cette soirée, nous présenterons aux habitants le programme que nous avons élaboré collectivement.

Nous aurons également l’honneur de dévoiler les noms des candidats de notre liste.

A bientôt ! 



vendredi 14 février 2014

Réunion publique 18 février 2014 à partir de 20 heures

Crépy-en-Valois
ÉLECTIONS MUNICIPALES 2014


 Comment rendre notre ville plus 
conviviale et solidaire?


Réinventer la vie de nos quartiers pour favoriser de meilleures relations entre tous les habitants, concevoir une politique de logement pour tous, retisser les liens entre les générations, lutter contre l’isolement et l’exclusion, se sentir en sécurité dans la ville…

Mieux vivre ensemble, tout simplement…

Toutes ces questions sont importantes et ont leur place dans l’élaboration d’un programme municipal.

ET SI … NOUS EN DISCUTIONS ENSEMBLE ?

Activité culturelles et sportives, relations entre voisins, vies de quartiers, festivités…
Vous avez sûrement des idées !

Amenez vos voisins, vos amis, vos proches, vos enfants,
Pour discuter, proposer, débattre
Dans une ambiance conviviale !


Réunion publique ouverte à tous
18 février 2014 à partir de 20 heures

Salle des fêtes
Rue Nationale, à Crépy

A l’initiative de la liste  «l’Humain d’abord »
Proposée par le Front de Gauche

Notre programme municipal, c’est le vôtre !

Rappel : Depuis plusieurs mois, la liste « L’Humain d’abord » a commencé à élaborer un programme municipal AVEC les habitants. Après avoir défini ensemble les orientations d’un projet collectif pour la ville en novembre dernier, nous avons élaboré des propositions alternatives pour l’emploi en décembre…
En janvier, nous avons examiné les possibilités de préserver et améliorer les services publics de notre ville afin de mieux répondre aux besoins de tous les habitants.
3 exemples de mesures possibles:
ü  Lutter contre la privatisation des services publics qui nuit à leur qualité et coûte plus cher à la population  (par exemple, la gestion de l’eau pourrait revenir à la municipalité) ;
ü  Assurer le rôle des comités d’usagers par le contrôle et la co-décision (car il s’agit de biens communs) ;
ü  Recenser les demandes et les besoins des habitants par une large consultation afin de renforcer ou de créer les services correspondant à leurs besoins…
Et bien d’autres propositions réalisables dans notre commune!

Vous êtes citoyens, vous avez le droit de mettre votre grain de sel ! 

mercredi 12 février 2014

70 ans de l'affiche rouge

L’Humanité publie un hors série en hommage aux combattants FTP MOI du groupe Manouchian fusillés au Mont-Valérien il y a soixante-dix ans
Il y a soixante-dix ans, le 21 février 1944, en milieu d’après-midi, vingt-deux jeunes hommes (les deux plus jeunes avaient 19 ans et le plus âgé 46 ans) étaient fusillés par les nazis au Mont-Valérien. La seule femme du groupe, Olga Bancic, n’eut pas eu le droit de mourir avec ses camarades de combat: emmenée en Allemagne, elle sera décapitée à la prison de Stuttgart.

Epopée héroïque
Ainsi prenait fin l’épopée héroïque du groupe FTP-MOI de la région parisienne, dirigé par le militant
communiste et poète arménien MIssak Manouchian. Six mois plus tard, Paris serait libéré, mais pour l’heure, les nazis et leurs supplétifs parisiens de la police de René Bousquet se vengeaient, tant qu’ils le pouvaient encore. C’est sûr, Manouchian et ses camarades, armés avant tout de leur courage, leur avaient mené la vie dure. Entre le printemps 1942 et l’automne 1943, au moment de leur arrestation, ils ont mené plusieurs dizaines d’actions contre les forces d’occupation (déraillement de convois de la Wehrmacht, attaques de détachements militaires…). Leur fait d’armes le plus retentissant fut l’exécution du général SS Julius Ritter, le responsable du Service du travail obligatoire (STO), la réquisition forcée de jeunes Français en Allemagne. Ces opérations avaient un impact politique évident, en donnant l’image d’une résistance toujours debout face à des Allemands et une police française de plus en plus inquiets. Lire la suite....


dimanche 9 février 2014

Ce matin sur le marché de Crépy

Ce matin sur le marché de Crépy pas de blouson bleus, pas d'écharpe bleues, pas d'anciens maires adjoints, pas de candidats sortis de nulle part, pas de candidats sur le retour…  

Juste les candidats de la liste « l'humain d'abord » comme d'habitude ! Les autres auraient-ils peur du froid, des citoyens, ou n’auraient-ils rien à dire ? A moins que ce soit le fait qu'il n'y avait pas de journalistes ce matin ? !

Pour information, ceux que l’on surnomme les  «blousons bleus » ou  bien « les schtroumpfs » (selon des clients ou des vendeurs du marché), ne sont pas des militants de droite comme nous pouvions le penser, de loin,  à notre arrivée, mais des militants… du PS !  
Rassemblés pour la première fois sur le marché dimanche dernier devant le journaliste d’Oise Hebdo, ils nous ont expliqué que la droite n’a pas le monopole du bleu.

On avait remarqué.
On avait remarqué surtout que le PS n’était plus un parti de gauche.

Finalement, c’est bien : ce choix vestimentaire a le mérite d’afficher clairement leur couleur !

Photo Le Parisien du 04/02/2014

Conférence de presse samedi 8 février 2014



La campagne du Front de Gauche et citoyens de Crépy-en-Valois a débuté en Novembre 2013. Plusieurs rencontres avec la population se sont tenues.
  
La première conférence populaire a permit de déterminer avec les habitants, la ville que nous voulions pour demain. Cette réunion a permis de faire émerger 4 grandes thématiques :
  
-          L’emploi
-          Les services publics
-          Le « vivre ensemble »
-          La démocratie locale

Ces thèmes ont ensuite été travaillés au cours de réunions publiques, toujours sous forme de conférence populaires (l’emploi en décembre, les services publics en janvier).

D’autres  rencontres avec les citoyens pour poursuivre l’élaboration de ce programme collectif sont prévues :

-          Le 18 février, à la salle des fêtes : Le thème du « vivre ensemble » permettra de travailler sur les questions suivantes : comment rendre notre ville plus conviviale et solidaire ? Comment réinventer la vie de nos quartiers pour favoriser de meilleures relations entre les habitants ? Comment concevoir une politique du logement et de l’urbanisme pour tous ? Comment retisser les liens entre les générations, lutter contre l’isolement et l’exclusion, se sentir en sécurité dans la ville.

-          Le 28 février, à la salle des fêtes, aura lieu un banquet citoyen au cours duquel nous présenterons officiellement notre liste et notre programme.

-          Le 8 mars : Participation à la journée internationale des luttes des femmes (initiative prévue)

-          Le 11 mars, à la salle des fêtes : Dernière rencontre citoyenne sur le thème de la démocratie locale avec cette grande question : Quelle participation des citoyens aux décisions locales après les élections ?

A l’issue de chacune de ces réunions, des ateliers s’organisent pour faire émerger les propositions concrètes que portera notre programme.
  
La participation à ces rencontres citoyennes a été significative dans une période ou personne ne parlait encore des élections municipales. Notre dynamique se poursuit lors de rencontres au porte à porte dans différents quartiers de la ville. L’accueil de notre démarche est positif.
  
A ce jour, notre liste est complète et nous avions même plus de candidats  que les 33 noms obligatoires.
 Comme nous l’avons annoncé lors de notre première conférence de presse, notre démarche est participative. Nous pensons plus que jamais que l’intelligence collective est beaucoup plus forte que la réflexion individuelle.

 Ces élections sont bien entendu locales, mais les décisions politiques nationales  ont des répercutions au niveau de la vie quotidienne des Crépynoises et des Crépynois. Cette élection est donc évidemment  politique, hautement  politique. Les autres candidats prétendent ne pas faire de « politique », ou être « sans étiquette » alors qu’ils soutiennent ou ont soutenu les politiques d’austérité et de casse du bien commun depuis plus de 10 ans. Dans le même temps, ils cachent ou maintiennent le flou sur l’essentiel des enjeux municipaux et communautaires de cette campagne.
  

Les choix des candidats de la liste « L’HUMAIN D’ABORD » sont  clairs : Créer un rassemblement à gauche pour que les valeurs de solidarité, d’égalité et de démocratie irriguent notre ville de Crépy-en-Valois ainsi que la CCPV.